Ils piétinent doucement et chantent a capella. Dans les townships et les hostels habités par les travailleurs noirs sud africains, le temps s’est arrêté pour ces chœurs d’hommes. Gants blancs immaculés, chaussures lustrées, costumes trois-pièces, boutons de manchettes rutilants. Tirés à quatre épingles. Ils se tiennent debout en cercle autour de leur «lida», leur chef.
Lisez la suite du reportage écrit par Ariane Puccini sur le site de Youpress : Isicathamiya, le blues zoulou résonne encore
[Publié dans World Sound, mai-juin 2009]