…c’était toujours aussi connement cliché de dire que les musiques africaines faisaient voyager. N’empêche, j’avais lâché prise, il y avait la chaleur de Dobet Gnahoré, la voix de Chiwoniso, les transes distordues de Konono n°1, les rythmes camerounais de Atna Njock Zekuhl et je me sentais légèrement déracinée — je connaissais trois fois rien de l’Afrique, mais le peu que j’en avais ressenti me manquait terriblement…
The Dandy Warhols – Mohammed