Quand il était en vadrouille autour du monde, mon frangin me manquait pas trop. Oh si, bien sûr, quand même quoi, mais pas genre bouhouhou-tu-me-manques-revieeeeeens. Faut dire qu’on se parlait pas mal par chat ou mail, on n’était jamais trop loin en pensées (c’est bien beau ce que je dis là , tiens)(pour un peu, ça bucolerait grave même).
Et puis là , c’est maintenant qu’il est rentré et qu’on s’est fait un bon plat de pâtes et qu’on s’est raconté plein de trucs marrants et qu’on a bien rigolé aux mêmes blagues que je me rends compte à quel point il m’avait manqué.
Welcome home, bro. (tsé, c’est là que je me rends compte combien le temps passe vite, aussi)(et franchement, ça le fait moyen pour mes prochains trips que ça arrive si vite)