tales of winter 7

“?a me force ? vivre et ? bien assumer mon temps. A Paris, c’est plus difficile qu’ailleurs. Comment arr?ter le temps ? Peut-?tre qu’il faut savoir r?cup?rer tout ?a – la fuite du temps, la fuite toute simple. (…) C’est peut-?tre ce qu’il faut faire, vivre avec sa d?viance. Je pense qu’il faut vivre avec ?a, se raccrocher ? des mots, peu importe – vivre avec sa d?viance. On est absent ? Eh bien il faut vivre avec ?a. M?me la fuite, on sait bien que chez quelqu’un qui a besoin d’?crire, de photographier, qui a besoin de s’exprimer, c’est une bonne chose. Je dirais qu’il y a une ?loge dans le voyage ou, au contraire, une d?ception. Il s’agit de se retrouver soi-m?me. Le voyage, c’est une terre impossible.” – Raymond Depardon

(t’sais, tu viens d’avoir deux virements cons?cutifs et tu devrais mettre de c?t? et c’est dingue, tu vas juste dans la librairie en bas de chez toi pour t’acheter une revue qui a l’air ma foi, bien interessante et bien belle et tu repars avec un Guy Debord et puis un nouvel agenda pour 2008 et puis des Voyages de Depardon. et t’as d?pens? un max de thunes. la vie est ainsi faite, que veux-tu ?)(et encore, remercie le ciel de pas avoir mis les pieds ? La Chambre Claire ou chez Artazart, voire chez Mona Lisait. faudrait partir en voyage loin de ces lieux de perdition…)(tiens, “Errance” est pas cher sur Amazon……..)

(et c’est comme ?a que t’as r?appris la photographie, une fois de plus)



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