depuis aujourd’hui, je crois que le monde se divise en deux cat?gories de personnes :

– celles qui pensent que le bonheur un truc compl?tement inatteignable, par essence inaccessible, et qui donc courent raisonnablement apr?s pendant un bon paquet de temps.

et celles qui, apr?s une nuit d’insomnie, un r?veil trop t?t, deux heures d’attente dans le froid — donc avec trois pneumonies en plus et quatre phalanges en moins –, pas de d?jeuner, trois heures de route avec du rap ? fond — yomyniggazfuckinshizznityobromozzafockinbitchyo –, un reportage, un seul caf?, trois heures quarante de route avec du rap ? fond, un sandwich grec ? minuit, un autre reportage jusqu’? trois heures du mat’ et vingt minutes de trajet pour rentrer chez soi,
savent que le bonheur r?side fondamentalement et sans le moindre doute possible dans le fait d’enlever ses lentilles.

apr?s forcement, il y a la question du nirvana supr?me et de la quintessence du bien-?tre ultime, ce truc qui d?passe l’entendement, tellement m?me que son illustration sonore parfaite est : ghaaaaaaaaaaaaaaa
et bien c’est tout simplement un lit. (silence, th? br?lant, lavage de dents et derni?re clope comptent ?videment. mais moins.)

code1

…please come in.

code1

…la m?tamorphose : un quart de si?cle r?sum? par des photos d’identit?s pourries (vous voil? pr?venus), documentaire assum? pendant environ quatre minutes, mais je ne garantis pas au del?.

arf1

arf2

arf3

arf4